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Eglise Saint Crépin : L’église est ouverte chaque jour de 8h30 à 19h / Messes dominicales : - Samedi : 18h en village - Dimanche : 9h et 11h à Saint Crépin / - en semaine à Saint Crépin : mardi, jeudi, vendredi et samedi à 9h / le mercredi à 9h à la chapelle de l'Hôtel-Dieu / - Adoration : chaque jeudi après la messe de 9h / chaque dimanche à 17h avec Vêpres et Salut du Saint Sacrement - Confessions à l'église Saint Crépin : chaque samedi à 9h30

mardi 18 octobre 2016

La Journée Missionnaire Mondiale sera célébrée le dimanche 23 octobre 2016
La Semaine Missionnaire Mondiale 2016 (SMM) se déroulera donc du dimanche 16 au dimanche 23 octobre 2016, sur le thème «Annoncer la Miséricorde».

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1 commentaire:

  1. Abbé Henri Gandon26 oct. 2016, 18:14:00

    Comment sentir bon ? Il y a quelques jours, il s’est passé quelque chose, une petite histoire de ville. Il y avait un réfugié qui cherchait son chemin, et une dame s’est approchée de lui et lui dit : “Mais, vous cherchez quelque chose ?”. Il était pieds nus, ce réfugié. Et il lui répondit : « Je voudrais aller à Saint-Pierre pour passer la Porte Sainte » Et la dame pensa : « Mais, il n’a pas de chaussures, comment pourra-t-il marcher ? »
    Puis, elle appela un taxi. Or, ce migrant, ce réfugié sentait mauvais et le chauffeur de taxi hésita à le prendre, mais à la fin, il se résolut à le laisser monter. La dame, assise à côté de lui, lui posa des questions pendant le trajet, sur son histoire de réfugié et de migrant : dix minutes pour arriver. Cet homme lui raconta son histoire douloureuse, de guerre, de faim et les raisons qui l’avaient poussé à quitter sa Patrie pour émigrer ici.
    Quand ils furent arrivés à Saint-Pierre, la dame ouvrit son sac pour payer le chauffeur de taxi, mais celui-ci, qui, au début, ne voulait même pas le faire monter parce qu’il sentait mauvais, dit à la dame : « Non, Madame, c’est moi qui dois vous payer parce que, grâce à vous, j’ai entendu une histoire qui a changé mon cœur ».
    Cette dame savait ce qu’était la douleur d’un migrant, parce qu’elle était arménienne et qu’elle connaissait la souffrance de son peuple. Quand nous faisons quelque chose de ce genre, au début, nous refusons parce que cela nous incommode, « mais…il sent mauvais… ». Et à la fin, l’histoire parfume notre âme et nous fait changer. Souvenez-vous de cette histoire, et pensons à ce que nous pouvons faire pour les réfugiés.

    Pape François 26 octobre 2016
    Pour éclairer l'actualité .

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