En bref

Eglise Saint Crépin : L’église est ouverte chaque jour de 8h30 à 19h / Messes dominicales : - Samedi : 18h en village - Dimanche : 9h et 11h à Saint Crépin / - en semaine à Saint Crépin : mardi, jeudi, vendredi et samedi à 9h / le mercredi à 9h à la chapelle de l'Hôtel-Dieu / - Adoration : chaque jeudi après la messe de 9h / chaque dimanche à 17h avec Vêpres et Salut du Saint Sacrement - Confessions à l'église Saint Crépin : chaque samedi à 9h30

dimanche 30 octobre 2016

Messes à la paroisse


Mardi 1er novembre - Solennité de la Toussaint

Lectures de la messe - cliquer ici

- 9h30 à Nogentel
- 11H à Saint-Crépin


Mercredi 2 novembre : Commémoration de tous les fidèles défunts
19h à Saint-Crépin

2 commentaires:

  1. Ce matin l'abbé Léon a parlé au cours du sermon d'une petite histoire du Pape François mais sans la raconter !!!
    peut on en savoir un peu plus ?
    Merci par avance !
    et merci aussi pour la très belle messe de ce matin si chantante et priante et si solennelle.

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  2. Il s'agit de la méditation du Pape lors de l'audience générale du 26 octobre.
    "... Il y a quelques jours, a eu lieu une petite histoire, métropolitaine. Il y avait un réfugié qui cherchait une rue et une dame s’est approchée et lui a dit : « Mais vous cherchez quelque chose? ». Ce réfugié n’avait pas de chaussures. Il lui a dit : « Je voudrais aller à Saint-Pierre pour passer la porte sainte ». Et cette dame a pensé : « Mais il n’a pas de chaussures, comment fera-t-il pour marcher? ». Et elle appelle un taxi. Mais ce migrant, ce réfugié sentait mauvais et le chauffeur de taxi n’avait pas envie qu’il monte, mais à la fin il l’a laissé monter sur le taxi. Et la dame, à côté de lui, lui a demandé de raconter un peu son histoire de réfugié et de migrant, pendant la durée du trajet : dix minutes pour arriver jusqu’ici. Cet homme raconta son histoire de douleur, de guerre, de faim et pourquoi il avait fui son pays pour immigrer ici. Quand ils sont arrivés, la dame a pris son sac pour payer le taxi et le chauffeur, qui au début ne voulait pas que ce migrant monte parce qu’il sentait mauvais, a dit à la dame : « Non Madame, c’est moi qui devrais vous payer parce que vous m’avez fait entendre une histoire qui a changé mon cœur ». Cette dame savait ce qu’était la douleur d’un migrant, parce qu’elle avait du sang arménien et elle connaissait la souffrance de son peuple. Quand nous faisons une chose de ce genre, au début nous refusons, parce que cela nous crée quelques désagréments, « mais... il sent mauvais... ». Mais à la fin, l’histoire parfume notre âme et nous transforme. Pensez à cette histoire et pensons à ce que nous pouvons faire pour les réfugiés."

    A lire en intégralité sur: w2.vatican.va/content/francesco/fr/audiences/2016/documents/papa-francesco_20161026_udienza-generale.html

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