Le Père Cantalamessa,  prédicateur au Vatican achevait ainsi sa prédication par un conte de Noël.
La chance d'être les mains vides.
"Parmi
 les bergers qui accoururent la nuit de Noël pour adorer l'enfant, il y 
en avait un; tellement pauvre qu'il n'avait vraiment rien à offrir et il
 en avait terriblement honte. Arrivés à la crèche, ils se pressaient 
tous pour offrir leurs cadeaux. Marie ne savait comment faire pour les 
prendre tous, étant donné qu'elle tenait l'Enfant dans ses bras. Voyant 
le berger les mains libres, elle lui confia Jésus. Sa chance a été 
d'être arrivé les mains vides. A un autre niveau, c'est aussi la nôtre 
quand nous nous présentons au Christ avec un coeur pauvre et vide de 
tout." (Texte extrait de Renaissance de Fleury revue de Saint Benoit sur Loire).

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